Théorie de l’évolution et origines des mutations. Tendances des mutations humaines actuelles…

Publié le par Gérald B.

Définition des gènes et modes opératoires des évolutions

L’homme possède autour de 38 000 gènes. Ce nombre de gènes n’est pas du tout supérieur aux autres espèces puisque tant le poulet, animaux multiples et plantes possèdent un nombre équivalent de gènes…

Les gènes constitutif de l’ADN de toutes les espèces sont identiques ; déjà sur ce point le sens d’une origine commune est clairement affichée, tant sur plan universel depuis le point originel du Big Bang et  sur le plan terrestre à l’arrivée de la vie cellulaire qui s’est développées en plusieurs millions d’années.

Les gènes qui déclenchent la croissance des nageoires à poissons, sont les mêmes gènes qui déclenchent la croissance des membres des tétrapodes et des humains.

Les gènes qui modifient la taille du bec en une plus grosse taille et plus court d’un même oiseau vivant en un autre lieu que celui qui possède un bec moins gros et plus long, sont strictement les mêmes.

Le rongeur vivant en un milieu où le sol est clair voit son pelage se clarifié afin d’assurer sa préservation dans la dissimilation vue d’en haut. Le même rongeur rencontré en un milieu de roche sombre possède un pelage sombre différent du précédent. Après recherche, il a été clairement découvert que l’un et l’autre possèdent le les mêmes gènes : l            a différence d’un animal à l’autre, d’un animal à l’homme n’est aucunement due à un gène en moins ou supplémentaire à l’autre espèce ; les chaînes ADN sont les mêmes et les gènes spécifiques se retrouvent parmi toutes ces espèces.

Le poisson, la baleine voient leur section de membres antérieurs se développer dans une structure courte et large en nageoires. L’animal voit sa section de membres antérieurs se développer d’une façon plus allongée et plus détaillées avec des pattes particulières. L’Homme voit ses membres antérieurs se développer dans un allongement plus conséquent et encore plus détaillé dans l’éventail particulier d’une main dont le pouce est la section clef du serrage. Lorsqu’on analyse la section natatoire du poisson, pattes de l’animal et bras de l’Homme, on constate que l’évolution particulière de chaque section, même différente, sont déclenchée par le même gène en chaque espèce, mais avec des modes évolutifs différents : plus courts, voire restreints, plus allongé, plus robuste ou plus faible, plus grossier ou plus élaboré, etc.…

Les gènes déclencheurs de mutations

 Il a été découvert que des gènes appelé homéotiques sont des stimulatrices de Switch (bascules déclencheur ou inhibiteurs d’une évolution) déclenchant l’activité d’un autre gène spécifique pour développer d’une manière ou d’une autre ce que le gène d’origine ressent comme indispensable  et comme une nécessité pour la survie dans le contexte où l’espèce est intégrée…

En clair, les gènes possèdent la mémoire totale de l’histoire de la Vie depuis la plus lointaine des origines d’autant plus que la Vie est issue des origines universelles intégrant les quarks U et D éléments constitutif de tous les atomes, puis des molécules, des matières, de la vie suite à de multiples cheminements d’histoires aux cœur des étoiles, des explosions, au cœur de la terre et des eaux, puis des phases glacières et post glaciaires, des évènements planétaires aux conséquences multiples… Cette mémoire est totalement incrustée en nous comme des éléments majeurs d’un disque dur conditionnant les enchaînements interne dans l’usage de « cet ordinateur » face auxquels nous ne pouvons rien faire, la chose étant totalement intégrée non seulement dans notre inconscient cellulaire (mémoire atomique, au cœur des particules élémentaires et des cordes) mais aussi regroupées en « alertes » de survie dans la section de notre cerveau dit reptilien.

Ainsi selon le contexte dans lequel chaque espèce est intégrée et en subit les contraintes chaque jour, sa vie durant, au moment d’être en gestation, les alertes cellulaires recentrées dans le cœur du cerveau reptilien déclenchent le réveille de certain gênes spécifiquement rattachés aux éléments de la situation de danger éprouvée, les gènes homéotiques, et stimule des mouvements d’agitation génétique dans la finalité de progressivement réduire le développement de certain éléments physiques, ou la transformation : comme par exemple l’animal marin menacé par des prédateurs conséquents, qui voit ses nageoires antérieures se muter en membres antérieures en plusieurs décennies lui permettant alors de sortir des eaux et de se libérer de la menace vitale...

Les autres facteurs renforçant le mécanisme de mutation

Cette phase de transformation interne et inconsciente est aussi conduite par le vécu émotionnel de la vie vécue par laquelle chaque traumatisme vital, ressenti comme tel par la stimulation interne du cerveau reptilien réagissant à chaque situation enregistrée comme une situation de danger vital et par les alertes cellulaires, donc moléculaires internes, est enregistré au cœur du cerveau limbique, dans la zone appelée amygdales du cerveau limbique conduisant à la rupture immédiate de la conduite face à la situation du lobe frontal, le lobe droit et gauche du cerveau dans la finalité inconsciente d’une gestion de la situation par les interprétations intérieures du cerveau limbique et du cerveau reptilien , prenant souvent les commandes dans une situation de panique conduisant à un autre danger conséquent de l’évitement du danger ressenti… Ceci est une réaction instantanée dont le cheminement est souvent contraire à l’objectif de survie visé par le mécanisme inconscient et interne.

Par contre dès lors qu’une situation vitale de danger se pérennise ou s’amplifie le long d’une vie, de plusieurs générations, les alertes enregistrées au cœur du cerveau limbique pour une défense instantanée, puis à force de répétition au cœur du cerveau reptilien après que l’alerte vitale, pour la sauvegarde de la survie, eut été ancrée au cœur des cellules et donc des molécules conduisent à un réveil spécifique de gènes homéotique voués au déclenchement  de procédures de changements (Switch)  passant alors par le réveil ou l’inhibition de gènes spécifiques dans l’objectif de mettre en place une transformation (mutation) ayant pour finalité d’instaurer une nouvelle capacité de protection ou un une nouvelle capacité d’attaque pour  l’espèce soumise à une nouvelle situation de danger vécue et éprouvée. Modification défensive liée à la fuite ou modification offensive liée à la confrontation  gagnante. Cette alerte mise en place et instaurée au cœur des gènes visés, se déploie émotionnellement en nous, en ancrages profonds rattachés exclusivement à une dynamique de survie au cœur même des cellules, des molécules, des atomes, des particules élémentaires intrinsèques et, dès lors qu’en ces moments nous sommes en gestation, l’embryon constitué du rassemblement croisé des gènes du père et de la mère, intègre en lui, du même coup, ces mêmes alertes déclencheront les actions de mutation rattachées au cours de la gestation et en suivant à partir de la naissance, moment où se mettrons plus où moins radicalement en place des premiers résultats visibles, peut-être seulement progressivement au cours de sa vie, voire plus probablement de génération en générations suivantes, croisés avec de nouvelles trames de mutations évolutives en fonction des nouvelles formes de danger pour la vie de l’espèce concernée, survenant dans le temps…

Une particularité génétique de mutation pour l’Homme

Une comparaison a été faite entre l’Homme et le singe. Il a été découvert que l’homme possède un gène endommagé conduisant à la dégradation musculaire liée à la mastication. Le singe possède ce même gène mais en état conduisant à une force maxillaire nettement supérieure le conduisant à mâcher d’une façon précise et forte. Chez l’homme cette précision et force maxillaire est devenue de plus en plus basse. Il a été analysé que la puissance musculaire de la mâchoire inférieure du singe aurait pour conséquence une forte compression de la boîte crânienne ayant pour conséquence l’empêchement du développement de sa boîte crânienne, donc de son cerveau. La régression de la puissance musculaire de la mâchoire de l’homme occasionnée par ce gène endommagé aurait conduit au développement de sa boîte crânienne sur le plan osseux et donc de la potentielle capacité de la croissance de son cerveau…

Ces différences entre le singe et l’humain ne sont pas rattachées à une différence de gènes, mais à un Switch ayant déclenché cette inhibition chez l’homme du gène développant cette puissance maxillaire.

Ces modifications au cœur de l’ADN de toute vie sont donc réveillées par l’alerte interne conduisant à la stimulation du Switch (changement) par des constituants chimiques cellulaires activant les sections génétiques liées aux objectifs de croissance, développement, transformation ou inhibition des gènes visées par le processus interne et rattachés au émotions cumulées et éprouvées dans le cycle d’une vie et le cumul de plusieurs cycles de vie de plusieurs générations.

Mutation vers un contexte virtuel, Hors-Nature et facteur de menace pour la survie

Il est des paramètres que perçoivent nos éléments moléculaires et cellulaires intérieurs que nous ne percevons pas du tout et/ou de moins en moins.   Un danger planétaire est majoritairement éprouvé par le monde floral et animal dont les conséquences instantanées ne sont pas interprétées correctement par les Humains. Les humains de génération en génération se sont mutés dans un contexte hors nature et foncièrement fondé sur l’urbanisme, l’industrie, la consommation, le confort et de multiples addictions instaurées de façon instantanées par des émotions éprouvées de mal être, donc de peur et de danger, conduisant à une réaction déviante vouée à la fuite (comme la dépendance à l’alcool, la drogue, la cigarette, la sur consommation, le sur confort, l’ancrage aux outils informatiques, tablettes, i phones, jeux vidéo, etc…, de la même façon qu’une personne dans le mal être peut voir en elle une obsession avilissante s’installée, comme le nettoyage obsessionnel de son foyer avec de plus en plus de maniaqueries assimilées à des tocs chroniques…). Cette mutation se constate aisément, un exemple parmi tant d’autres, par la capacité déployée par les jeunes à manipuler les touches de leur portable, en ne respectant cependant aucunement les règles « d’ortograf, gramère et konjugson » J,  face à la lenteur de la même action par les personnes plus âgées veillant à ne pas faire de fautes et de ne pas céder à cette addiction virtuelle.

Le contexte vital de nos sociétés sont interprétées d’une façon totalement erronée, dans le sens où l’humain intègre la nécessité de développer hautement la croissance de l’industrialisation, de l’économie, du commerce, etc… dans la finalité de développer l’autonomie financière et au mieux le développement du profit personnel, le développement de la surconsommation dans cette finalité financière, dans un contexte sociétale de vie instauré et imposé de façon totalement coercitive (lois et règles détournées et manipulatoires dans la finalité cachée de garantir son pouvoir et sa plus grande capacité financière personnelle, qui est devenue aujourd’hui le critère unique et vital imposé virtuellement à La Vie des Humains)  et foncièrement décalé avec les fondements cruciaux et vitaux de La Vie.

Dans ce contexte de vie instauré par les Hommes, totalement détaché du contexte originel,  universel et terrestre de la Nature qui est le cœur de l’ancrage et de la pérennité de nos vies, l’Humain, baigné et totalement imprégné de façon avilissante dans ce monde virtuel, voit les fondements de son anatomie se modifier petit à petit, mais de façon évidente, par des atouts physiques réduits, des capacités  d’autonomie dans la nature totalement inhibées, des faiblesses physiques et mentales face à des situations de danger naturels subits, une croissance excessive de la quantité de nourriture avalée, comme des boissons non naturelles, une totale dépendance à toutes les activités rattachées aux outils modernes et électroniques interprétés comme des outils de survie pour être intégré dans la logique collective, pour s’orienter vers des métiers techniques, cœur des tendances de croissances actuelles…

Dans ce contexte social où L’Humain construit ce contexte par lequel il pense faire face à ses peurs et craintes de l’avenir, l’humain va voir de plus en plus les gènes homéotiques déclencher de plus en plus de switch intérieurs en rapport à ces fausses interprétations émotionnelles, dans la finalité de pérenniser ces choix ressentis de vie dans la modernité pernicieuse à long terme mais éprouvée comme une modernité salvatrice au jour présent, en développant des mutations qui auront pour finalité l’affaiblissement des structures physiques et vitales naturelles, vers un accroissement de capacités virtuelles liées au monde développé dans cette modernité artificielle.

Une fois ce cheminement fait, de générations en générations, de par le fait que les conséquences de ces choix Humains en constante croissance hyper-valorisée, de façon erronée, comme une prétendue issue salvatrice de survie de l’Homme, alors que la mondialisation, la croissance industrielle et économique, l’augmentation des populations et de leur niveau de consommations fortement élevées et continuellement croissantes au-delà des niveaux de nécessités suffisantes vitales, etc… ne cessent de déclencher et développer une misère chronique, des maladies mortelles, des niveaux de pollution extrêmement élevés, de plus en plus étendus sur la planète et à tendance de plus en plus  irréversible, avec des conséquences clairement visibles et de plus en plus clairement affichées, mais dont chacun se contente de faire le déni (manipulation mentale défensive et offensive inconsciente, se traduisant du côté du cerveau gauche en décisions conscientes justifiées dans le simple but de continuer à servir son intérêt personnel exclusif traduit, assimilé et intégré comme une raison cruciale de survie, sans aucunement se soucier des conséquences de ses actes sur le devenir à court et moyen termes du potentiel vital de la planète pour toute la Vie, dont les Humains sont totalement dépendant),  comme le réchauffement climatique en marche, les perturbations météorologiques de plus en plus destructives et fréquentes, les expansions radioactives massives aux conséquences alarmantes (comme en Russie et Japon), l’eutrophisation croissante de cours d’eau et de plans d’eau partout sur la planète (0,01 % d’eau potable disponible sur la planète) , la modification chronique des équilibres naturelles (biotopes) et chaînes alimentaires (par la destructions d’espèces multiples en voie de disparition) dans les forêts, les cours d’eau, zones humides, les océans, etc…,  Cette multiplication chronique des conséquences des décisions Humaines, justifiée par un prétendu objectif de survie qui en aura modifié les modalités génétiques et comportementales, vont déployés des répercutions imparables sur tous les facteurs naturels planétaires desquels dépend la pérennité de La Vie, dont celle des Humains. Alors l’éradication des humains dont les mutations, fortement en cours, seront totalement devenues inadaptées aux réalités des phénomènes naturels dont La Survie dépend absolument, sera massive… Réveillant alors, à nouveau, l’alerte d’un danger phénoménal qui tendra à faire remodeler de nouveaux Switch génétiques, redonnant à l’humain des moyens vitaux de protection vitale, dont il s’est totalement démuni de façon chronique par son ignorance profonde de son rattachement dépendant à la dynamique de la Vie Naturelle planétaire, ne serait-ce que la pérennité de l’Oxygène déployée par la flore et le phytoplancton...

La domination ignorée et pernicieuse de l’Homme par les moteurs inconscients rattachés à une démarche associée à sa survie

La soumission de l’Humain par ses ancrages inconscients est hautement démonstrative et alarmante : comme celui qui risqua de se noyer en son enfance par le retournement d’un bateau sur lequel il était en mer.  Plusieurs années tard il monte à bord d’un grand voilier pour une petite croisière ; alors le vent monte et la mer commence à se former. Il commence à ressentir une peur le gagner (restimulation inconsciente liée à l’émotion passée à laquelle sont rattachés tous les paramètres vécus, comme l’état de la mer, bruits, type de bateau, mouvements du bateau, couleur du ciel, odeurs, paroles, etc…). Le vent montant, le bateau commence à fortement gîter et tanguer. L’homme est alors soudainement saisi de panique et, retenu par l’équipage alerté, se rend à l’arrière du bateau pour se jeter à l’eau… Le moteur du choix de survie est totalement dépendant du contexte vécu émotionnellement dans le passé et qui fut traduit comme un danger de mort : ainsi l’homme ayant assimilé sa chute à l’eau par l’inclinaison du voilier l’ayant presque conduit à la noyade, au moment de revivre un moment similaire, le cerveau limbique fait ressurgir un bloc inconscient prenant le dessus sur le lobe frontal, gauche et droit : Bateau coucher = risque de mort, donc l’ordre est donné de sauter du bateau qui est la cause associée à ce risque de mort ; si bien que si l’homme s’était jeté du bateau à plus de 6000 nœuds marins des côtes, il se serait cru sauvé sans réaliser qu’une fois à l’eau la probabilité de sa noyade à tenter rejoindre la côte située à  6000 nœuds était de 99%...

Ainsi l’Homme de nos sociétés ayant été soumis aux impératifs virtuels vitaux de l’argent, puis complice de cette trame, comme seule issue potentielle pour survive, cela depuis plusieurs générations rattachées à des contextes différents et évolutifs liés à une capacité financière suffisante pour vivre, contrecarrée par des impositions et taxes tant en périodes royales qu’en périodes dites démocratiques,  d’autant plus que les prix n’ont cessé de monter de manière prohibitives, les taxes et impôts parasites infligés et à la hausse… Alors l’Homme intégré dans ce système imposé auquel il se sent totalement soumis, est fondamentalement dominé, à son insu, par les alertes inconscientes du cerveau limbiques (traumatismes) et cerveau droit (émotions), sous la tutelle stimulatrice du cerveau reptilien et des ancrages atomiques cellulaires exclusivement rattachés à la dynamique de survie originelle et évolutive depuis le Big Bang : si bien qu’il adopte comme salvatrice la solution du profit, de la croissance industrielle et économique, de l’appropriations de plus en plus de biens, etc.… sans réaliser que par ces « choix » multipliées et de plus en plus grandissants chez la majorité des Humains de la Terre, la survie soi-disant préservée est, à l’inverse, fortement menacée pour tous les Humains à court et moyen terme à 99%, comme l’homme ayant quitter le bateau pensant sauver sa vie, parti en pleine mer pour finir par y disparaître à jamais…

L’Homme possède pourtant un cerveau doté d’un potentiel de réflexion pour sa remise en cause salvatrice… ?

La domination des phénomènes inconscients mêlant la génétique, les ancrages évolutifs originels et universels, les ancrages émotionnels inconscients, etc… est prédominante chez toutes les espèces florales et animales (avec des procédés d’ancrages différents bien sûr sur les différentes échelles de structures de vie), donc humaines.

L’Humain est la seule espèce connue possédant un cerveau de grandes capacités, mais au potentiel majoritairement sous exploité. Un cerveau ayant la faculté de faire le discernement, seul avec beaucoup de recul, remise en question et lâcher prise, ou avec l’aide d’un tiers dès lors que le potentiel inconscient domine notre vie, notre personnalité, notre ego et nos comportements, entre ce qui est rattaché à une dépendance inconsciente de restimulation régissant le sens donné à notre vie dans l’erreur ignorée et le détachement de cette dépendance en acceptant de sortir du cadre auquel on s’est soumis vers une réflexion de recul ouverte et rationnelle permettant de bien analyser les choix, leurs raisons originelles, leurs conséquences et effets réels sur ma vie et La Vie en général dans la logique de sa préservation majeure dans la simplicité, le partage, le respect de tout ce qui m’entoure, la redéfinition des fondamentaux de ce qu’est le bonheur sans avilissements, la redéfinition de ce à quoi doit se rattacher le sens fondamental de la vie de tous les Humains de la terre, garantissant une véritable survie dans le contexte fondamental des lois naturelles non détournées vers des ambitions personnelles erronées et manipulatrices construites par le cerveau analytique gauche.

Le chemin vers un monde de sagesse ne pourra nécessairement passer que par la prise de conscience de ma domination avilissante ignorée par tout ce qui régit, en moi, par mon inconscience, la conduite de mon projet de survie conduisant ma vie, celle de ma famille, mes enfants, mes petits enfants, les générations à venir, l’Humanité et La Vie planétaire aux dangers multiples et variés, aux manques de ressources, à la mort commune chroniquement potentielle ; notions fréquemment déniées par la majorité vivant dans l’aisance, pour uniquement continuer à servir ses propres intérêts personnels détournés. Seulement le jour où ces personnes se trouveront au pied de la falaise les conduisant dans un gouffre, alors ils hurleront avec révolte pour qu’on leur vienne à l’aide ! Chose jamais appliquée en acte au service du monde dans son ensemble et donc de la vie de Chacun.  C’est quand on est loin de la falaise que, tous ensembles, nous avons le potentiel de réagir par l’action commune pour préserver La Vie et son Avenir selon les règles fondamentales de La Nature d’où nous venons tous, cela s’appelle anticiper et prévenir ; une fois tout le monde au dessus du gouffre, alors dans l’urgence vitale, cela devient tellement plus difficile d’agir pour sauver tout le monde…

Evolutions et mutations pour faire face aux menaces éprouvées pour sa survie - L'Homme croit sauver sa vie en agissant comme il le fait, il construit sa destruction en détruisant l'équilibre planétaire, une erreur fatale de choix pour une survie prétendue...
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